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Fines Bouches magazine, un trait d'union entre producteurs et professionnels des métiers de bouche.

Le 20 octobre paraîtra le premier numéro de « Fines bouches Magazine », pour l'occasion, nous avons posé quelques questions à Florence Dupin, la fondatrice de ce mensuel.




Florence, que ressent-on à quelques jours de cette sortie ?


Du stress, de l’impatience, de la fierté … un peu tout cela en même temps. Pour moi, c’est l’aboutissement de deux ans de travail et de fabuleuses rencontres avec des amoureux de la table qui aiment leurs métiers et savent transmettre leur passion. Je me suis régalée dans tous les sens du terme.


Mais, c’est aussi le commencement d’une nouvelle aventure. « Fines bouches » n’est pas qu’un magazine de plus dans l’univers de la gastronomie. J’aimerais qu’il devienne un trait d’union entre les professionnels des métiers de bouches, les producteurs vertueux, et les consommateurs. En fédérant ainsi, la communauté des « fines bouches », j’espère redonner du sens à ce qui se passe dans nos assiettes, aider à consommer avec conscience, sans discours culpabilisateurs mais en mettant en valeurs les bons produits et les bonnes pratiques. C’est notre pari. J’espère que la communauté des Fines Bouches sera au rendez-vous.


À quoi va ressembler Fines bouches magazine ?


C’est un magazine 100 % digital qui s’accompagnera également d’un guide pour référencer les producteurs sélectionnés par notre équipe afin de mieux les faire connaître des professionnels des métiers de bouches (restaurateurs, épiceries fines …) et ainsi de les soutenir.


Chaque mois, nous proposerons des articles très complets et sourcés sur les produits que nous sélectionnons. Nous essaierons également de mettre en valeur les métiers, les traditions et surtout les Hommes qui les vivent au quotidien. Mais, nous voulons également montrer que la gastronomie ne se résume pas à ce que l’on voit dans une assiette. Derrière chaque produit, chaque recette, il y a une histoire, une part de culture. Nous ouvrirons le magazine sur cette dimension en laissant des cartes blanches à des artistes, des historiens.


Vous insistez beaucoup sur l’indépendance de votre magazine, qu’est-ce que cela signifie pour vous ?


Être indépendant, c’est le seul moyen de rester libre, de garantir notre objectivité. Ni le magazine ni nos rédacteurs n’entretiennent de relations commerciales avec les producteurs que nous sélectionnons. Nous ne sommes clairement pas dans une démarche publicitaire. Si nous parlons d’un produit, c’est parce que nos rédacteurs l’ont aimé, qu’ils l’ont gouté, et qu’ils ont rencontré le producteur


Tout cela à un coût, c’est vrai ! Mais c’est le prix de la confiance. "Nos lecteurs savent que ce qui guide nos choix, c’est le goût, les valeurs, mais pas le chéquier de telle ou telle grande enseigne."


Nous comptons donc sur les abonnés pour nous aider à défendre cette liberté. Je suis confiante, car, avant même la sortie du premier numéro, nous avons enregistré des abonnements de « fines bouches » qui comprennent et soutiennent cette démarche.




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